Les familles heureuses

CRÉER UNE FAMILLE HEUREUSE

Commence par être présent et impliqué. Commence par être un participant actif et engagé dans ta famille. On doit pouvoir éprouver le sentiment d’être utile, apprécié et de se sentir aimé. On doit y voir une atmosphère de confiance, de compréhension, de compassion et d’honnêteté afin qu’elle soit unie. On doit u trouver une ambiance chaleureuse, de la gratitude et de la générosité entre les membres, car, il y a plus bonheur à donner qu’à recevoir. Les enfants doivent accepter de prendre les conseils de leurs parents dans la mesure ou les parents sont équilibrés et amour. Pour ceux qui croient en Dieu, prendre conseil des consignes de la Bible, conduira à une famille des plus heureuses.

Pour avoir une vie de famille heureuse, il s’agit aussi de trouver un conjoint qui nous convient. De l’amour pour la femme et du respect pour l’homme. L’homme doit être stable et équilibré, doté d’un bon jugement et capable d’assumer des responsabilités de prendre des décisions. Il doit entourer sa femme d’amour et de considération sans réserve.

La beauté et les attraits sexuels de son épouse ne suffisent pas. Ils ne peuvent compenser les incompatibilités mentales et spirituelles. La personnalité profonde est plus importante que son apparence.

Le couple doit avoir des affinités, des visions, des réalisations communes. Leur cœur doit être centré sur des valeurs plus spirituelles que matérielles. En cas de conflits, ils doivent être capables de bien se comprendre et de trouver des solutions satisfaisantes pour les deux. On ne doit pas chercher son avantage personnel, mais celui de l’autre. « Est-ce que je peux faire quelque chose pour toi ? » est une phrase qu’on doit entendre souvent dans un couple réussi. On doit faire à l’autre ce qu’on veut que l’autre nous fasse, ou le corolaire, ne pas faire à l’autre ce qu’on ne veut pas que l’autre nous fasse.

On doit être capable de fixer sur les choses positives et non sur les éléments négatifs et de faire des remarques constructives. On ne doit pas se montrer désagréables même si on n’est pas d’accord. Personne n’aime qu’on tire hâtivement une conclusion erronée à son sujet. Et ne réagissez pas vous-même trop promptement aux conclusions erronées à votre sujet, mais essayez de discerner les intentions et les mobiles qui ont poussé l’autre à agir ainsi. « Aide-moi à comprendre le pourquoi de ta réaction ? » doit être un autre bout de phrase qu’on doit se dire souvent. Ne renonçons pas à faire ce qui est excellent en tout temps.

Quelles conséquences l’emploi d’un et de l’autre aurait-il sur la vie de couple ou sur la vie de famille.

La compatibilité dans un couple ne sera jamais parfaite. Ce ne sont pas les défauts par eux-mêmes qui font échouer un mariage, mais la façon dont chaque conjoint réagit aux défauts de l’autre. De qui sommes-nous amoureux ? De la personne qu’on pense pouvoir changer ou de la personne telle qu’elle est ? Cela peut prendre du temps d’abandonner de mauvaises habitudes. À cet effet, je vous invite à lire le chapitre sur les couples heureux.

Il ne suffit pas seulement d’entendre les sages conseils, il s’agit de les mettre en pratique. Mettre en pratique que de sages conseils vont faire la différence entre la réussite et l’échec. Il n’y a pas de vie de famille s’il n’y a pas d’interactions affectives significatives ou du temps passé ensemble ou si chacun fait son propre va-et-vient, mange à des heures différentes, ne joue pas ensemble, ne se parle à peu près pas, que vous ne partagiez que les dépenses, etc. Si c’est le cas, vous comme des « je », comme des colocataires qui habitent sous un même toit. Ce genre de dynamique ne peut pas durer longtemps sans que quelqu’un décide de partir. Vivez-vous en famille sous un même toit ou vivez-vous comme des colocataires ?

Un des mythes très répandus est qu’il vaut mieux donner du temps de qualité que du temps en quantité. Ce n’est pas tout à fait vrai. Les enfants surtout, ont besoin qu’on soit présent très souvent. Donc, voyez-y. Notre famille est où notre cœur devrait être. Une étude en psychologie démontre que le parent moyen passe environ 7 minutes par semaine dans un contact significatif, profond, durable et engageant avec son enfant. À dire autre chose que « ramasse tes affaires, fais tes devoirs, jette la poubelle, va te coucher, entre à l’heure, etc. » Le parent moyen ne passe qu’environ 7 minutes par semaine à s’intéresser à ce que son enfant vit, à savoir comment il se sent, ce qui l’habite, à lui demander son avis sur ceci et sur cela ou à l’aider dans ses devoirs, à l’encourager ou à vraiment être à son écoute. Sept minutes ce n’est vraiment pas beaucoup.

Combien de temps passez-vous par jour devant le miroir le matin à vous regarder, à vous raser ou à vous maquiller. À voir si la cravate va avec l’habit, les bijoux avec la robe, si on est bien coiffé, à s’occuper de leur apparence. La plupart des gens vous diront environ 30 minutes par jour incluant la douche. Trente minutes par jour, 7 jours semaines ça donne 3 heures et demie par semaine devant le miroir. Et nous ne passons qu’environ 7 minutes par semaine dans un véritable contact avec un enfant ? Il y a quelque chose qui ne marche pas dans notre société.

Pourquoi est-ce ainsi ? Trop de parents ont une todo liste qui est trop longue et parfois la vie de famille n’y figure même pas. On est plus centré sur des éléments de satisfaction personnelle. Avez-vous remarqué dans les librairies on retrouve des livres sur « comment bâtir sa confiance en soi, ou son estime de soi, ou son bonheur, ou s’affirmer, ou réussir, ou perdre du poids, ou sa santé physique, ou devenir riche, etc.). Il n’y a rien sur comment avoir une famille heureuse ou comment réussir sa vie de couple (voir section sur vie de couple et les caractéristiques des couples heureux). Dans notre société occidentale, tout semble être centré sur son je, me, moi. Plusieurs parents sont pris au piège à passer beaucoup de temps à faire des sous pour se payer des choses à avoir ou à en avoir plus. On veut une maison, ensuite une plus grande, le dernier i phone, une télévision plus à la mode, une nouvelle voiture, etc. Pris dans un monde de matériel et de consommation, on aura de la difficulté à se contenter de ce qu’on a. Plusieurs parents se comportent comme s’ils étaient des hamsters qui courent en rond sur une roue toute la journée, jour après jour, sans prioriser la famille. Pour réussir sa vie de famille, parfois les parents devraient songer à abandonner ou reporter à plus tard certains de leurs rêves (de carrière, de possession), le temps que leur famille grandisse.

Avez-vous une tobe liste ? C’est elle qui est la plus importante. Votre conjoint a-t-il une tobe liste ? Est-ce que les deux tobe liste sont multiplicateurs ou destructeurs ? (voir section sur la différence entre une todo liste, une tobe liste et une "soul" liste.

La famille recomposée. Les choses se compliquent encore un peu si on pense à la vie de famille recomposée. Elles se compliquent parce que souvent les conjoints se cherchent comme s’ils allaient vivre une vie de couple seulement. Ils ne voient pas nécessairement la vie de famille avec laquelle il va falloir composer. C’est presque assuré d’échouer après la période d’euphorie. Les partenaires devraient plutôt se chercher avec l’objectif premier de vivre une vie de famille et de voir au couple, dans cette vie de famille. On doit être capable de s’entendre sur un certain nombre de choses comme : « Suis-je obligé d’aimer l’enfant de l’autre ? Oui, mais il n’est pas élevé comme moi j’aurais voulu l’élever. Les conjoints ne s’entendent pas sur les règles de fonctionnement et sur la discipline. Un est plus autoritaire et l’autre conjoint est trop permissif. Mon conjoint ne me donne pas la permission de discipliner son enfant. Son enfant se comporte comme un enfant-roi ou un enfant teflon et c’est trop de problématique pour moi. On ne s’entend pas sur le partage des dépenses. Ils viennent pour déménager ensemble et un garde ses meubles en entrepôt, ce qui est déstabilisateur, car il est toujours sur le point de départ. Comme s’il testait la vie de famille avant. Ses enfants font que je dois faire trop de compromis sur mes allées et venues, ou sur certaines valeurs. Je perds trop de liberté ou je dois trop changer ma façon de vivre, ou je sens que je passe après les enfants de l’autre et j’aimerais sentir que je suis le premier », sont des choses qu’on entend et qui contribuent à l’échec de la famille recomposée. Il faut aussi savoir que plusieurs enfants consciemment ou pas, vont tenter de briser la famille recomposée en souhaitant que le parent revienne avec l’autre parent biologique.

Dans le cas où les deux conjoints ont des enfants, les enfants entre eux ne sont pas non plus obligés de s’aimer. De se respecter oui, mais… Bref, si on veut la réussir, la vie de famille devrait être la première priorité sur notre todo liste. Le couple doit être centré sur la famille et pas sur le chacun pour soi. On doit voir que les gains de bonheur à vivre en famille (même recomposée) surpassent les gains individuels de vivre seul.

Quelles valeurs et attitudes voulez-vous que vos enfants apportent avec eux lorsqu’ils quitteront votre famille ? Quels comportements ? Quels traits de caractère ? Que voulez-vous léguer qui va transcender des générations ?

Vous pouvez changer la dynamique de votre vie de famille. En étant conscient que ce qu’on dit, comment on le dit et ce qu’on fait, on peut avoir un impact positif et important sur les enfants. Et par ricochet, ce qu’on dit et fait se répercutera sur nous aussi. Parfois ce qu’on cherche à transmettre comme valeur ne paraîtra pas tout de suite surtout si l’enfant à un comportement d’opposition. Mais, éventuellement, les valeurs qu’on cherche à inculquer vont ressortir.

Valoriser nos enfants permettra d’approfondir un lien d’attachement. On peut leur donner de la valeur en étant à l’écoute de leurs besoins ou en respectant leurs opinions mêmes si on n’est pas en accord avec elles. Reconnaître leurs dons et talents vont les valoriser, bâtir leur estime de soi, leur confiance en soi et leur identité. On peut les valoriser en ayant une place réservée dans la maison pour un mur de fierté ou un mur de joie.

Encourager un enfant ou lui faire des éloges sont deux choses à l’opposé une de l’autre. Lorsque je fais des éloges exagérés, je lui mets de la pression pour qu’il continue à performer, à être à la hauteur de nos attentes. L’enfant pourrait interpréter cela comme si on l’aimait uniquement parce qu’il performe ou parce qu’il doit performer. S’il ne se sent pas â la hauteur, il pourrait décrocher et devenir rebelle ou adopter une attitude d’opposition. Par contre, si je l’encourage à continuer à faire ce dans quoi il est bon, si j’encourage les efforts qu’il fait, si je l’encourage à persévérer, je ne mets pas de pression sur l’enfant.

La discipline est importante. Voir la section sur 11 choses à faire en regard de la discipline. Souvenez-vous de la règle qui dit qu’il y a des demandes à risques, des offres à risques, des attentes à risques et des engagements à risques. Sept fois sur dix, les choses se passent comme prévu et 3 fois sur 10, c’est autrement. Il faut patienter aux 3 fois sur 10. Parfois un enfant, tout comme un adulte a besoin d’un soutien, d’un encouragement pour l’aider à démarrer ses devoirs ou une activité.

Est-ce que tous les adolescents deviennent difficiles ? Non pas tous. Certains vivent cette période sans anicroche importants. Par contre, d’autres adolescents deviennent très impulsifs et instables. Ils peuvent être violents, agressifs, en colères. Ils peuvent mentir, bafouer, déjouer, voler et briser. Ils testent les limites de tout le monde. Ils se comportent en rebelles et sont presque toujours en opposition. Certains chercheront à contrôler les personnes dans leur entourage, comme dans un jeu de pouvoir. D’autres ados seront mesquins afin d’attirer l’attention. Cela arrive qu’ils soient rebelles ou en opposition parce qu’ils veulent se venger de ceci ou de cela. Les garçons difficiles ont tendance à se calmer vers l’âge de 25 ans et les filles avant ça.

Pour les calmer, on ne doit pas réagir impulsivement à ce qu’ils font. Il faut répondre à leurs actions en leur demandant de nous expliquer le pourquoi de tel comportement. On doit leur demander leurs opinions et même si on n’est pas d’accord, les respecter. On doit s’intéresser à ce qu’il fait. On doit les encourager en soulignant les aspects positifs de leurs actions. On n’amène pas un dauphin à faire de beaux trucs en le punissant à toutes les fois qu’il a échoué. Il apprend parce qu’on encourage avec des récompenses, les trucs qu’on souhaite qu’ils apprennent. C’est sensiblement la même chose avec un ado. Et finalement on doit se souvenir qu’il faut parler avec notre ado et ne pas parler à notre ado. Parler avec c’est d’être à son écoute, s’intéresser à ce qu’il vit autant dans son quotidien qu’émotivement, respecter ses opinions (sans nécessairement être en accord avec lui et le laisser faire ce qu’il veut, car c’est le parent le « boss ». Le parent qui parle « à » son enfant fait tout le contraire. Le parent impose sa volonté sans s’intéresser à ce que vit son enfant, sans être à son écoute, sans chercher à le comprendre. L’enfant sentir comme s’il n’était pas important, sans valeur et cela va inévitablement conduire à du ressentiment de sa part. À force de le « bulldozer » cela pourrait susciter la rébellion chez l’enfant et conduire à une dynamique de l’opposition et à une confrontation parent/enfant.

Raisons pour lesquelles il peut mal se comporter.  Pour attirer l’attention. L’ado dira, « Je sens que j’existe uniquement lorsque j’attire l’attention et peu importe de quelle manière. » Il attirera l’attention en faisant soit de bons coups ou de mauvais coups.  Pour avoir le dessus sur vous. Pour lui la relation parent/ado c’est une lutte de pouvoir. Il sent qu’il existe seulement lorsqu’il peut dominer, contrôler ou gagner afin d’amener le parent à faire ce qu’il veut, quand il le veut, comme il le veut.

Pour se venger de vous. « Je ne sens pas que j’ai de la valeur. Donc, je vais me comporter aujourd’hui comme un voyou. Ou je m’organiserai pour avoir de mauvaises notes à l’école, etc. » Mes parents vont soit avoir honte ou se sentir gênés.

Il ne se sent pas à la hauteur. « Je sens que je fais tout de travers, que je ne fais jamais rien de bien et donc j’abandonne la vie. » C’est un ado qui a tendance à se comporter selon l’image que les autres se font de lui. Inconsciemment il agit comme cela pour ne pas décevoir les parents dans l’image qu’ils ont de lui. Mentionner l’effet pygmalion.

CHOSES à faire pour créer la parfaite tempête avec votre adolescent et l’amener à être difficile.
Avoir des règles dans la maison sans de relations affectives conduisent à de la rébellion, à la défiance. Éviter de leur donner l’impression qu’ils ne sont pas importants pour nous. Les abaisser surtout devant les autres. Ne pas dénigrer leurs choix de musiques, activités, habillement, idées, opinions, pensées. Ne jamais dire pardon lorsqu’on est fautif. Maltraiter un conjoint devant les enfants. Dire et faire autrement de ce qu’on dit de faire. Les babines doivent suivre les bottines. Toujours être rigide et fermé à leurs suggestions. Ne pas souligner les aspects positifs des différences.
Pour éviter une tempête. 

Lui offrir des choix alternatifs. Il décidera ce qui lui convient le mieux. Respecter la règle du 7/10. Lui offrir de l’aide. Le soutenir dans ses projets sportifs ou à l’école ou dans ses passe-temps. Laisser la réalité lui enseigner certaines choses de la vie. Dans la mesure du possible, les laisser réfléchir, ne pas faire leurs tâches à leurs places, faire leurs devoirs, parler à leurs places, les encourager avec un mur de joie ou de fierté. Reconnaître la différence entre récompenses et punitions par addition et par soustraction. Voir texte sur discipline. Traiter vos enfants comme s’ils étaient des invités à souper. Ne pas le valoriser ou le mettre sur un piédestal, comme pour lui dire qu’il pourrait faire n’importe quoi, qu’il a du talent, bon, etc., car il va trouver cela difficile de maintenir un haut niveau selon vos attentes. Ça va lui mettre une pression pas nécessaire. Vaut mieux l’encourager à faire ce qu’il fait de bien plus tôt que de lui dire qu’il est le meilleur, un bolé, etc. Encourager met l’emphase sur l’effort, la persévérance, etc., et ne met pas de pression sur la performance. Le parent sait que la discipline est importante et qu’il faut tenir les enfants responsables de leurs actions et ne jamais céder à leurs chantages. Il faut lui montrer ce qui est bien de ce qui est mal. Faites savoir à votre enfant que vous croyez qu’il va prendre de bonnes décisions, qu’il va faire ce qui est bien.

On peut observer trois sortes de parents ;
Le parent autoritaire : il utilise des récompenses et des punitions pour contrôler. En fait beaucoup de punitions (verbales, psychologiques, etc.). Il écrase l’estime et la confiance en soi de l’adolescent. Il peut créer une tempête.
Le parent permissif : il est l’esclave de l’enfant. Il fera tout ce qu’il faut pour que l’enfant soit heureux. Il fait tout pour l’enfant, même ce que l’enfant devrait faire par lui-même. Cela risque de donner un enfant roi et/ou téflon.

Le parent équilibré : il ne punit pas, mais sait donner des choix alternatifs à l’enfant. Il établit des règles de fonctionnement (soutenu par une relation affective), laisse l’enfant être responsable de ses actions, laisse la réalité être un guide pour sa conduite. On ne le sauve pas des conséquences, mais on l’accompagne dedans.

Un couple heureux. (voir chapitre là-dessus) Les quatre pilonnes : amour (activiste, une vie romantique et sexuelle épanouit), respect (des opinions et des valeurs de base communes), admiration (l’autre pour quelque chose), confiance (ouverture et honnêteté à tous les niveaux et surtout fidélité pour les gars). S’il n’y a pas d’honnêteté, il ne peut pas y avoir de confiance et si pas de confiance, pas de relation significative ni d’engagement. Tout cela demande une bonne communication.

Si une des deux personnes est trop jeune et ne se connait pas, elle est en quelque sorte une demi-personne. Elle aura beaucoup de difficulté à choisir un partenaire et à rester en couple, car elle ne sait pas tout à fait ce qu’elle veut. C’est pourquoi il y a autant de divorces chez les personnes de 20 à 30 ans.

Les tops quatre besoins critiques des hommes : se sentir utile, désiré, respecté et comblé. Cela se résume beaucoup aux besoins de réalisations et de sécurité des cercles qu’on a vue précédemment. Il faut savoir que les hommes ont tendance à être des solitaires et qu’ils ont besoin de la femme pour combler ses besoins critiques. Les femmes qui sont centrées sur elle-même, qui ne s’enquiert à peu près jamais sur ce que vit l’homme, qui ne le fait pas sentir utile et désiré (de toutes sortes de manières), ou qui ne sait pas le respecter, va le perdre. L’homme de votre vie doit devenir votre héros. Montrez-lui que vous avez besoin de lui et que vous ne désirez que lui. Comblez-le émotivement, physiquement et sexuellement et vous ne le perdrez pas.

Les tops quatre besoins critiques des femmes : affection (la sécuriser), compréhension, soutien et communication. Cela correspond beaucoup aux besoins affectifs et de sensations des cercles. L’homme qui ne sait pas la sécuriser affectivement ou l’encourager dans ses activités, où chercher à la comprendre, etc. va la perdre. Qu’est-ce que je peux faire pour toi chérie. On ne doit pas toujours chercher à résoudre ses problèmes, mais surtout à l’écouter.
Trop souvent, un des deux conjoints et presque toujours celui qui s’enquiert sur le comment va l’autre. Qui fait du pouce sur ce que l’autre vit. Qui est centré sur l’autre. S’il n’y a pas de retour d’ascenseur, le conjoint va s’éloigner et ne pourra pas s’engager dans une vie de couple.

À cet effet, voir la section sur suis-je avec la bonne personne et suis-je la bonne personne.

Un couple doit avoir des objectifs, une direction, un sens à leur union et un engagement à les poursuivre ensemble. Sans cela, on vit un à côté de l’autre. On doit toujours réinvestir un dans l’autre, réinvestir dans sa vie sexuelle, reconnecter un à l’autre, résoudre les conflits de façon satisfaisante pour les deux, revoir les objectifs de retraite, de santé, de finances à deux. Chacun doit contribuer un à l’autre.

Ce qui stresse le plus les femmes. Les enfants, le manque de temps et finalement le conjoint et dans cet ordre.
Les pères : être un leader, engagé, une force positive, être à l’écoute, répandre de la joie, être doux et respectueux, être le modèle qu’on veut que les enfants deviennent. Aimer la maman.

Les parents seront toujours des parents. Qu’est-ce que tu veux léguer aux enfants. Comment incorporer les grands-parents dans votre vie. S’assurer que le temps passé ensemble sera de qualité. Démontrer combien vous vous appréciez mutuellement. Ayez du plaisir ensemble.