La loi de qui ?

LE PROJET VÉRITÉ

MODULE 10 LA LOI DE QUI ?  (La loi de Dieu ou la loi des hommes ?)

Éthiquement et moralement, sommes-nous pris au piège par le monde ?

1) Pourquoi l’Éternel a-t-il permis aux israélites d’avoir un roi ? Dans 1 Samuel 8, on raconte que l’Éternel acquiesce à la demande d’Israël de remplacer les juges par un roi. Pourquoi font-ils cette demande ? Parce que les fils de Samuel ne suivaient pas les traces de Dieu. Ils étaient corrompus par l’amour de l’argent. C’est pourquoi les responsables d’Israël voulaient les remplacer par un roi pour abolir la direction du peuple par des juges et la remplacer par une monarchie. Malgré que Dieu se sente rejeté (1 Samuel 8.7), Dieu accepta, mais il les avertit sur les aspects que prendrait cette forme de monarchie.

De 1 Samuel il est écrit « 11 Il (l’Éternel) dit : Voici quel sera le droit du roi qui régnera sur vous. Il prendra vos fils, et il les mettra sur ses chars et parmi ses cavaliers, afin qu’ils courent devant son char ; 12 il s’en fera des chefs de mille et des chefs de cinquante, et il les emploiera à labourer ses terres, à récolter ses moissons, à fabriquer ses armes de guerre et l’attirail de ses chars. 13 Il prendra vos filles, pour en faire des parfumeuses, des cuisinières et des boulangères. 14 Il prendra la meilleure partie de vos champs, de vos vignes et de vos oliviers, et la donnera à ses serviteurs. 15 Il prendra la dîme du produit de vos semences et de vos vignes, et la donnera à ses serviteurs. 16 Il prendra vos serviteurs et vos servantes, vos meilleurs bœufs et vos ânes, et s’en servira pour ses travaux. 17 Il prendra la dîme de vos troupeaux, et vous-mêmes serez ses esclaves. 18 Et alors vous crierez contre votre roi que vous vous serez choisi, mais l’Éternel ne vous exaucera point. »

2) L’Éternel donne des droits aux législateurs.

D’accord, mais, ont-ils le droit d’intervenir légalement pour aller à l’encontre de la volonté et de la moralité de Dieu et ce peu importe les sphères d’activité ? Non.

Dans 1 Roi 21, Naboth refuse de céder une vigne à Achab, car selon les commandements de Dieu c’était un devoir de garder dans la famille toute terre ancestrale. Afin de prendre possession de ce terrain d’une façon légale, Jézabel envoie des lettres aux magistrats et prend deux témoins qui affirmeront (faussement) que Naboth a blasphémé contre Dieu. Blasphémer contre Dieu était punissable par la lapidation et effectivement cela a été le sort de Naboth. Naboth mort, Achab a pu prendre possession de la vigne tant convoitée. Que fit l’Éternel ? Il choisit Élie pour dire à Achab dans 1 Rois 21.19 « …Voici ce que dit l’Éternel : N’es-tu pas un assassin et un voleur ? …. À l’endroit même où les chiens ont léché le sang de Naboth, ils lècheront ton propre sang. » Et au verset 23, l’Éternel parle à Jézabel pour lui dire qu’elle sera aussi mangée par les chiens. Et on raconte dans 2Rois 9.30 et 10.28 que Jézabel et d’autres membres de la famille ont été punit par la mort pour avoir commis cet acte abominable.

Il est écrit au verset 25 : « Il n’y eut personne qui se soit lui-même vendu comme Achab pour faire ce qui est mal aux yeux de l’Éternel, et sa femme Jézabel l’y poussait. » Les deux connaissaient sans doute le commandement de Dieu en rapport avec les terres ancestrales, que voler, tuer et faire mentir en utilisant l’apparence de la légalité était mal aux yeux de Dieu. Mais ils ont en quelque sorte suffisamment idolâtré ce terrain pour faire réaliser le plan.

Dieu n’a pas aimé qu’on ait utilisé des moyens qui ont l’apparence de toute la légalité pour voler et tuer, pour faire mentir et aller à l’encontre de ses commandements. Est-ce que les états d’aujourd’hui peuvent se cacher derrière des lois pour s’approprier des biens d’autrui ? Pour justifier le meurtre, le mensonge, le vol, etc. ? Est-ce que ce qui est légal est toujours moral et éthique selon Dieu ? Non et nous pouvons illustrer cela avec l’exemple des paradis fiscaux. On peut s’en servir légalement pour faire de l’évasion fiscale (éviter de payer de l’impôt), mais c’est immoral.

L’état a beaucoup de pouvoirs et de droits, mais Dieu impose des limites et l’état de ne doit pas abuser de ses pouvoirs. Il veut que l’État obéisse à ses commandements. Oui, il faut rendre à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu, mais ce n’est pas à l’état de déterminer ce qui est bien et ce qui est mal. Cela relève de la Parole de Dieu et Dieu nous le fait savoir, à travers plusieurs versets bibliques.

Proverbes 21.1 « Le cœur du roi est un courant d’eau dans la main de l’Éternel ; Il l’incline partout où il veut. » Daniel 2.21 « Il fait changer les temps et modifie les circonstances, il renverse les rois et les élève. » Proverbes 16 « 9 Le cœur de l’homme médite sa voie, Mais c’est l’Éternel qui dirige ses pas. 10 ¶ Des oracles sont sur les lèvres du roi : Sa bouche ne doit pas être infidèle quand il juge. »

3) Dieu est-il le Roi des rois ?

Nabuchodonosor, le roi de Babylone dans Daniel 4.29-35 s’est glorifié de la construction de Babylone, mais Dieu lui retira sa royauté pendant 7 ans. Pourquoi ? Parce que Dieu avait fait construire Babylone pour qu’on le glorifie et pour qu’on proclame Sa souveraineté et non pas celle du roi. Nabuchodonosor a été puni pour avoir agi contre la volonté de Dieu.

Osias (2 chroniques 26) devint très puissant et il devint hautain et infidèle à Dieu en pénétrant dans le temple de l’Éternel pour brûler des encens sur l’autel des encens. Osias n’avait pas le droit d’offrir des encens, cela étant réservé aux prêtres. Dieu puni Osias qui eut la lèpre et dû vivre à l’écart jusqu’à sa mort.

4) À qui doit-on se soumettre ?

De Romain 13.1-6 il est écrit : «1 Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures ; car il n’y a point d’autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu. 2 C’est pourquoi celui qui s’oppose à l’autorité résiste à l’ordre que Dieu a établi, et ceux qui résistent attireront une condamnation sur eux-mêmes. 3 Ce n’est pas pour une bonne action, c’est pour une mauvaise, que les magistrats sont à redouter. Veux-tu ne pas craindre l’autorité ? Fais-le bien, et tu auras son approbation. 4 Le magistrat est serviteur de Dieu pour ton bien. Mais si tu fais le mal, crains ; car ce n’est pas en vain qu’il porte l’épée, étant serviteur de Dieu pour exercer la vengeance et punir celui qui fait le mal. 5 Il est donc nécessaire d’être soumis, non seulement par crainte de la punition, mais encore par motif de conscience. 6 C’est aussi pour cela que vous payez les impôts. Car les magistrats sont des ministres de Dieu entièrement appliqués à cette fonction. »

Est-ce que ces versets donnent plus de droits à l’État que ceux accordés dans 1Samuel 8 ? Est-ce qu’ils permettraient à l’État de justifier des actions comme ceux dans le récit de la vigne de Naboth ? Ou de Nabuchodonosor ? Est-ce que l’Éternel a changé d’idée en ce qui concerne qui dicte la loi morale entre l’état et les citoyens, entre l’état et la famille, entre l’état et la communauté ou le travail ou notre relation avec Dieu ou avec les formes de mariage, ou en ce qui concerne la vie et la mort et on en passe ?

Dieu établit les gouvernements pour qu’ils gèrent selon Sa volonté et dans les limites de ce qu’Il permet. Il ne veut pas que les hommes ou les états prennent sa place. La loi de Dieu est immuable, tandis que la loi des hommes est mouvante. La loi de Dieu est la vérité absolue, tandis que celle des hommes peut varier selon les circonstances, les situations, les pressions, les lobbys, les buts poursuivis. Il y a innombrables exemples ou les hommes et les législateurs n’ont pas obéi à la loi de Dieu et il y a eu des conséquences. Notons sommairement, Adam, Moïse, le déluge, Sodome et Gomorrhe, l’exode et les 40 ans dans le désert, les 400 ans à Babylone, certains prophètes, juges, rois. Jésus est venu lui-même entre autres, pour nous montrer le chemin de vérité et de vie et les docteurs de la loi parmi d’autres ont rejeté sa loi et ont abusé de leur pouvoir légal pour le tuer. Après l’ascension de Jésus, Dieu nous a envoyé l’Esprit saint aux croyants pour les guider. Et finalement, Jésus va revenir entre autres, pour juger le monde en fonction de Sa loi. C’est donc, dire que les gouvernements ne peuvent pas faire ce qu’ils veulent, mais doivent agir dans le cadre de la loi de Dieu et de ce que Dieu permet. Les magistrats ont la responsabilité de gouverner, mais ils auront des comptes à rendre à Dieu. On doit toujours avoir une crainte respectueuse de Dieu.

5) L’ascension de l’État

Voici la conception de l’État vu par les hommes il y a quelques centaines d’années et selon le dictionnaire Webster de 1828. Il est écrit que « la politique était une part de l’éthique qui consistait à réglementer et gouverner une nation ou un État, pour préserver sa sécurité, sa paix et sa prospérité… défendre et protéger contre des prises de contrôles étrangères …. tout en préservant et en améliorant la moralité. »

Les choses ont vraiment commencé à changer vers les années 1859 avec la publication du livre de « L’origine des espèces » de Charles Darwin. On a commencé à croire au big bang et à l’évolution, théories qui expliquent l’origine et l’évolution de tout, mais sans la présence d’un Dieu créateur. Plusieurs personnes, incluant certains états et des philosophes influents du temps, ont tassé Dieu de leur vie. Tout récemment, on a enlevé les dix commandements de Dieu du texte de la constitution américaine. L’état s’est placé en situation de souveraineté, comme un état dieu. C’est lui maintenant qui décide (avec le consentement de la population) ce qui est bien et ce qui est mal, ce qui est moralement permis et ce qui ne l’est pas. La plupart des états font fi de la volonté de notre Créateur.

Maslow et Rogers disent que l’homme est fondamentalement bon et perfectible et que si on tourne mal, c'est à cause de la culture de la société, à cause des institutions sociales. C'est probablement une des raisons qui amène l’État à vouloir avoir le contrôle des institutions et à penser qu’il a le droit d’intervenir moralement dans de nombreuses sphères de la vie. Il accroit son pouvoir et pense qu’il a le contrôle sur tout. Il tasse Dieu et remplace la vérité objective de Dieu pour adopter une moralité subjective et parfois élastique. L’État agit comme si Dieu n’était plus là et les gens s’inclinent « aveuglément » devant l’État. La sphère de Dieu et de l’homme devient la sphère de l’État et de l’homme et l’État croit qu’il est lui-même le responsable de tout, les pauvres, les travailleurs, la famille, la communauté, l’éducation, les formes du mariage, de l’éthique, la redistribution des revenus, de la vie et de la mort, du bien et du mal, etc. L’État peut agir en bien comme il peut aussi nuire à ou détruire ces sphères. L’État providence se substitue à tout et rivalise avec Dieu en commençant à se penser comme étant Dieu.

L’état doit-il agir comme étant un état sauveur, un Dieu sauveur ? Dieu n’est-il pas assez compétent ou puissant pour nous sauver ? Avons-nous vraiment besoin d’un État global, mondial et transnational ? D’où vient notre salut ? De l’Éternel. Qui comble nos besoins selon sa volonté ? Qui doit marcher à notre tête ? Dieu ou l’État ? Qui doit être notre sauveur, notre pourvoyeur ? Légalement, l’état peut s’approprier de nos argents et de nos propriétés par les taxes et par autres droits qu’il se donne et en faire ce qu’il veut. Mais est-ce que toutes ces actions sont moralement permises selon Dieu ?

6) Quel devrait être l’objectif de l’État ?

Dans Romains 13, l’autorité a été portée par Dieu pour que l’État civil fasse le bien et punisse le mal. Maintenant, il faut discerner ce qui est bien de ce qui est mal et selon qui. Serait-ce selon la loi des hommes ou selon la loi de Dieu ? Un état chrétien ainsi que les hommes chrétiens, devrait se soumettre à la volonté et aux lois de Dieu dans la gestion de toutes les sphères de la vie tout comme Jésus qui s’est soumis à la volonté de son Père. Par contre, aujourd’hui la majorité des États légifère selon le monde, sans tenir compte de la loi de Dieu et cela produit de nombreux abus. Dieu demande au chrétien de se soumettre à la loi des hommes, sauf si une de ces lois contrevient à la loi de Dieu.

Cette soumission n’est pas négative, car au contraire c’est ce qui permet à Dieu de réaliser son plan d’amour pour nous. C’est parce que Jésus s’est soumis à la volonté de son Père que nos péchés sont pardonnés et que le croyant a l’assurance de sa vie éternelle.

On peut lire sur cette relation soumise entre Jésus envers son Père dans 1 Corinthiens 15.27 « Dieu, en effet, a tout mis sous ses pieds. Mais lorsqu’il dit que tout lui a été soumis, il est évident que celui qui lui a soumis toutes choses est excepté. 28 Et lorsque toutes choses lui auront été soumises, alors le Fils lui-même sera soumis à celui qui lui a soumis toutes choses, afin que Dieu soit tout en tous. » Pareillement, on lit dans Jean 17.1 « Après avoir ainsi parlé, Jésus leva les yeux au ciel, et dit : Père, l’heure est venue ! Glorifie ton Fils, afin que ton Fils te glorifie, 2 selon que tu lui as donné pouvoir sur toute chair, afin qu’il accorde la vie éternelle à tous ceux que tu lui as donnés. »

Le chrétien ne peut pas changer l’État, mais il peut agir de concert avec Dieu, pour transformer les cœurs des dirigeants non-croyants. On peut évangéliser les magistrats afin qu’ils naissent de nouveau et se soumettent à la Parole de Dieu en matière de législation. Notre rôle à nous, les croyants, consiste premièrement à prier pour ceux qui nous gouvernent (Rom 13) à travers quoi Dieu va agir « J’exhorte donc, avant toutes choses, à faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces, pour tous les hommes, pour les rois et pour tous ceux qui sont élevés en dignité, afin que nous menions une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté. Cela est bon et agréable devant Dieu notre Sauveur, » (1 Tim 2, 1-3). En second lieu d’avoir de l’influence envers ceux qui nous entourent par un comportement exemplaire « des enfants de Dieu irrépréhensibles au milieu d’une génération perverse et corrompue, parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde, » (Phi 2, 15). Les exemples de Joseph fidèle et loyal à Dieu auprès de son maître Potiphar pour devenir le bras droit de Pharaon (Ge 37 à 50) et Daniel malgré l’opposition demeure lui aussi fidèle à Dieu et devient le conseiller principal du roi de Babylone et ensuite du roi de Perse. Leur influence a eu un impact positif pour accomplir le plan de Dieu dans l’histoire du peuple d’Israël (Da 1 à 11).

Selon Del Tackett, il semblerait que Dieu se soit volontairement placé au centre de la sphère de l’État, car il sait que sans Sa présence, les États peuvent devenir des tyrans et abuser de leurs pouvoirs pour agir immoralement, selon leurs propres intérêts et contre la volonté de Dieu. Il sait que l’État peut facilement décider de ce qui est bien et de ce qui est mal et que cela ne concorde pas toujours avec la vérité de Dieu.

Psaumes 22. 28 « Car à l’Éternel appartient le règne : Il domine sur les nations. »

Esaïe 14. 24 « L’Éternel des armées l’a juré, en disant : Oui, ce que j’ai décidé arrivera, Ce que j’ai résolu s’accomplira. 25 Je briserai l’Assyrien dans mon pays, Je le foulerai aux pieds sur mes montagnes ; Et son joug leur sera ôté, Et son fardeau sera ôté de leurs épaules. 26 Voilà la résolution prise contre toute la terre, Voilà la main étendue sur toutes les nations. 27 L’Éternel des armées a pris cette résolution : qui s’y opposera ? Sa main est étendue : qui la détournera ? »

Romains 9.17 « Car l’Écriture dit à Pharaon : Je t’ai suscité à dessein pour montrer en toi ma puissance, et afin que mon nom soit publié par toute la terre. »

Est-ce correct de voler même si on peut justifier le vol, même si on a besoin de voler pour sauver une vie ? Et si c’est un roi ou un État qui passe une loi pour lui permettre de faire cela est-ce correct aux yeux de Dieu ? Non, absolument pas ? Pour nous chrétiens, la vérité est absolue et la référence à ce qui est bien ou mal, moral ou immoral est inscrite dans la Parole de Dieu. Il n’y a qu’un seul chemin de vie et de vérité. Dans le monde, c’est tout autrement. Ce qui est bien ou mal, moral ou immoral est déterminé par les élus, le peuple, les circonstances, les situations, les groupes de pression, la saveur du moment, etc. C’est pourquoi nous sommes vulnérables à la manipulation.

7) Comment peuvent se comporter certains chrétiens ?

Il y a des chrétiens en affaires qui vont tricher, mentir, faire de fausses représentations, substituer des matériaux de qualité inférieure ou carrément voler en prétextant que s’ils ne le font pas, ils ne pourront plus concurrencer les autres, feront faillite et ne pourront plus pourvoir à leurs familles ou subvenir à leurs besoins de base. Ils diront que le Seigneur les responsabilise en leur demandant de s’occuper de leurs enfants et de leur conjoint(e). D’après vous est-ce la bonne chose à faire ou est-ce que cela ne témoigne plutôt de personnes qui ne font pas confiance à Dieu, lui qui pourvoit et s’occupe de ses enfants ? Dieu n’est-il pas assez puissant et bon pour savoir s’occuper de ses enfants ?

Matthieu 6. 31-34 : « Ne vous inquiétez donc point, et ne dites pas : Que mangerons-nous ? que boirons-nous ? de quoi serons-nous vêtus ? Car toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent. Votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu et toutes ces choses vous seront données par-dessus. Ne vous inquiétez donc pas du lendemain, car le lendemain aura soin de lui-même. À chaque jour suffit sa peine. »
Romains 8. 28 « Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. »

Hébreux 13.5 « Ne vous livrez pas à l’amour de l’argent ; contentez-vous de ce que vous avez ; car Dieu lui-même a dit : Je ne te délaisserai point, et je ne t’abandonnerai point. »
Malachie 3.10 « Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, Afin qu’il y ait de la nourriture dans ma maison ; Mettez-moi de la sorte à l’épreuve, Dit l’Éternel des armées. Et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux, Si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance. »

Dieu n’a-t-il pas un plan de vie pour chacun de nous ?

Éphésiens 2.10 « Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d’avance, afin que nous les pratiquions. »

Ne devons-nous pas lui faire confiance coûte que coûte et ne pas enfreindre ses commandements, peu importe la situation ? Dieu peut-il nous placer dans certaines situations pour nous « tester » tout comme il le fit avec Job ?

Guide d’étude réalisé par une équipe de frères et de sœurs : Raynald Arseneault, Claudine Fontaine, Denis Fontaine, Joanne Fortier, Marc-André Gaudreault, Christine Lambert, Guy Mineault.